Je n’avais pas prévu d’être un aventurier

Je n’étais pas destiné à devenir un serial-entrepreneur, un sportif assidu ou un aventurier passionné. Tout a commencé pendant mes études d’ingénieur en microélectronique, lorsque j’ai eu l’opportunité d’effectuer un stage qui a changé le cours de ma vie. À partir de ce moment, j’ai pris un tournant inattendu vers l’entrepreneuriat.

Adieu, les équations de Maxwell et les cristaux de silicium ! J’ai lancé Yelloworking, le premier espace de coworking à Aix-en-Provence, après avoir démarré une carrière dans le conseil en stratégie, simplement parce que je voulais travailler dans un bel environnement, entouré de gens inspirants.

C’est également à cette période que j’ai redécouvert des activités en plein air que j’avais mises de côté : ski, escalade, canyoning (je suis né en Auvergne)… Cette nouvelle vie a été jalonnée de belles aventures : un premier voyage à vélo en famille, une traversée de la France en triathlon, le tour de France à vélo et même une traversée de l’Atlantique à la rame. Tout cela en parallèle de ma carrière, car sinon, où serait le plaisir ?

Puis, un jour, les chemins du sport et de l’entrepreneuriat se sont rencontrés. C’est ainsi qu’est née Endonora. Aujourd’hui, même si les grandes aventures sportives sont moins fréquentes, le sport reste une passion toujours vivante. C’est un véritable investissement dans l’avenir, et je crois fermement que ma condition physique ne doit jamais être un frein aux opportunités qui se présentent.

En tant que père, je ressens aussi la responsabilité de transmettre à mes filles les outils nécessaires pour qu’elles puissent réaliser leurs rêves et accomplir leur destinée. Est-ce grandiloquent ? Non, c’est simplement sincère. Je suis convaincu que les enfants apprennent mieux par l’exemple. Je partage avec elles mes expériences de vie et mes passions : mes aventures, les défis, l’économie, la philosophie, la science, l’entrepreneuriat, avec ses succès et ses épreuves.

Nous avons tous 24 heures dans une journée et une petite centaine d’années à vivre. A nous de choisir ce que nous en faisons, non ? Agissons sur ce que nous pouvons maîtriser et lâchons prise sur le reste !

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