Sport en entreprise : les 6 questions (vraiment) essentielles à se poser avant tout

Vous envisagez d’introduire du sport dans votre entreprise ? Attendez un peu. Ce que vous allez lire pourrait bien vous éviter de perdre de l’argent, d’énerver vos équipes… ou pire : de faire flop.

❌ Le piège dans lequel tombent (presque) toutes les entreprises

Le sport en entreprise, tout le monde en parle. C’est bon pour la santé, le moral, la cohésion, la marque employeur, la QVT… Oui.
Mais la plupart des projets échouent à court et moyen termes. Pas parce qu’ils manquent d’ambition, mais parce qu’ils manquent de réflexion.

👉 Installer un vélo d’appartement dans un coin de l’open space, ce n’est pas “faire du sport en entreprise”.
👉 Payer un coach une fois par mois non plus.

Pour que ça fonctionne vraiment, il faut commencer par se poser les bonnes questions. Les vraies. Celles que peu d’entreprises se posent. Et si vous vous les posez maintenant, vous gagnerez du temps, de l’argent… et surtout l’adhésion de vos salariés.

Voici les 6 questions à se poser avant de mettre en place du sport en entreprise

1. Quelles sont les envies et les attentes de vos salariés ?

Vous n’êtes pas en train de construire une salle de sport pour l’image de votre entreprise. Vous le faites pour des humains. Vos équipes. Et leurs besoins ne sont pas tous les mêmes et sans doute qu’une salle de fitness n’est pas forcément la réponse idéale.

• Ont-ils envie de se défouler, de se détendre, de s’amuser, de se reconnecter ou de méditer ?
• Préfèrent-ils une séance audio sur leurs écouteurs ou un cours collectif, éventuellement avec un coach ?
• Ont-ils 10 minutes chaque jour ou bien une belle heure quotidienne à consacrer au mouvement ?

Il est impératif que votre proposition leur ressemble, qu’elle colle un maximum à leurs attentes et à leurs capacités.

🔍 À faire : un sondage court, anonyme et bien tourné. Ensuite, testez un format souple. Par exemple : des séances audio-coachées accessibles à tous, sans besoin de local dédié (comme sur Endonora).

2. Vos locaux sont-ils adaptés ? Comment éventuellement les adapter (sans tout casser) ?

Pas besoin d’un studio de yoga avec parquet chauffant. Tout peut aussi se faire à l’extérieur (et c’est la promesse d’Endonora par exemple). Mais si vous souhaitez proposer des activités indoor, vous avez besoin d’un minimum vital : un espace calme, sécurisé, propre, équipé (ou modulable). Et parfois, le bon usage d’un couloir inutilisé vaut mieux qu’une salle bien équipée mais inaccessible !

🛠️ Pensez à :

• La ventilation
• Les douches (ou leur alternative)
• Le rangement (pour les vêtements, tapis, petit équipement…)
• L’isolation phonique si vous prévoyez de proposer des séances avec un accompagnement audio ou de la musique.

🎯 L’astuce : si vous manquez de place, optez pour des formats sportifs mobiles, courts, silencieux — ou même à faire en extérieur. Il existe des solutions (Endonora en est une !) pour contourner les contraintes spatiales.

3. Quelles règles mettre en place ? (Et comment éviter les dérives)

Vous ne pouvez pas dire “faites du sport si vous voulez” et espérer des miracles. Tout en restant dans la souplesse, il est nécessaire d’élaborer un cadre clair et structuré.

• Sport sur le temps de pause ? Sur le temps de travail ? Mix des deux ? Tolérance horaire ?
• Ateliers et activités en accès libre ou sur inscription ?
• Payant, gratuit ? Financé totalement par l’entreprise ou pas ?
• Qui valide les activités ? Qui en est responsable ? (comme tout projet, il faut une personne in charge motivée sur la durée !)

📌 Règle d’or : la liberté doit s’exercer dans un cadre. C’est ça, la QVT durable.

4. Quels sont les risques (et comment les anticiper) ?

Personne ne veut voir un salarié se blesser pendant une séance. Et encore moins que ça engage votre responsabilité juridique. Comment durant les WE incentives ou les activités hors les murs, les risques à évaluer sont les suivants :

• Blessures (temps de travail vs temps libre)
• Accidents dans les locaux
• Malentendus sur l’assurance

🛡️ Solution : définissez clairement les conditions de pratique, en lien avec votre service RH, juridique ou votre prestataire d’activité sportive. Et prévoyez une assurance adaptée si nécessaire.

5. Comment faire vivre le sport dans l’entreprise ?

Un programme sportif, ce n’est pas un “one shot”. C’est un mouvement à faire vivre. Problème : les RH ne sont pas des coachs sportifs, parfois, eux non plus n’aiment pas bouger et même éventuellement motivés, les managers sont déjà surchargés. Alors comment faire ?

✅ Ce qu’il vous faut :

• Un référent (interne ou externe)
• Un outil simple pour proposer, suivre et animer vos séances.
• Une logique de régularité (sans rigidité) : il faut que les séances deviennent de véritables rendez-vous réguliers.

💡 Les entreprises qui réussissent utilisent des formats autonomes (audio, visio, application) et se responsabilisent sur le succès. Elles ne laissent pas le sujet “mourir dans un coin”.

6. Combien cela va-t-il coûter ? (Et combien cela peut-il rapporter ?)

👉 Mauvaise question : Combien ça coûte ?
👉 Bonne question : Combien cela apporte (à mettre en lien avec la question : combien je perds sans) ?

Le coût moyen d’un programme sport bien ficelé est sensiblement inférieur au coût du désengagement des employés au travail.

• Désengagement = le coût peut aller jusqu’à 34% du salaire annuel du collaborateur désengagé
• Le sport régulier = absentéisme moindre car maladies courtes diminuées

📊 Petit budget = gros impact, si l’action est parfaitement ciblée en amont (grâce aux questions que vous avez pu poser en amont à votre masse salariale).

✅ En résumé

🚀 Et maintenant ?

Vous avez les bonnes questions. Vous pouvez lancer un programme qui a du sens, qui motive et qui dure.

Chez Endonora, on aide déjà des entreprises à franchir le cap avec des parcours sportifs audiocoachés pensés pour le quotidien des collaborateurs, où qu’ils soient.

🎧 Pas de salle de sport ? Pas de problème.
⏱ Peu de temps ? On s’adapte.
🤝 Vous voulez en savoir plus ? Parlons-en !